Actualités Baillot & Associés à Saint-André-les-Vergers et Paris
NOTE INFORMATION –26/04/2024

Risques CYBER
En octobre dernier, nous vous avions alertés sur le fait que notre cabinet, comme beaucoup d'autres, avait été victime d’usurpation d’identité. Malheureusement, de nouvelles tentatives ont été signalées.
Restez extrêmement vigilants !
Au moindre doute, contactez directement votre interlocuteur habituel au sein de notre cabinet.
NOTE INFORMATION –28/08/2023
Factures : l'entrée en vigueur de la facturation électronique obligatoire est reportée
Alors qu'elle devait avoir lieu le 1er juillet 2024, la généralisation de la facturation électronique est reportée sine die.
Depuis l'année dernière, il était acquis que toutes les entreprises devaient être en mesure de recevoir des factures sous format électronique dès le 1er juillet 2024.
Ensuite, et au plus tard à compter du 1er janvier 2026, toutes les entreprises assujetties à la TVA (y compris celles placées sous le régime de la franchise en base) devaient émettre des factures électroniques pour toutes leurs opérations avec d'autres assujettis ayant leur siège social en France.
Etaient notamment concernées par cette obligation :
- les livraisons de biens ou les prestations de services situées en France qu'un assujetti effectue avec un autre assujetti et qui ne sont pas exonérées de TVA ;
- les acomptes se rapportant à ces opérations ;
- les livraisons aux enchères publiques de biens d'occasion, d'œuvres d'art, d'objets de collection ou d'antiquité.
REPORT
Par un communiqué du 28 juillet dernier, le ministère des finances a fait savoir que, "afin d’offrir aux entreprises le maximum de garanties pour un passage à la facturation électronique pleinement réussi", la dates d'entrée en vigueur ci-dessus sont annulées et seront remplacées par de nouvelles dates qui seront fixées dans le cadre des travaux d’adoption de la loi de finances pour 2024.
Source : communiqué Ministère des finances du 28 juillet 2023.
NOTE INFORMATION –26/11/2021

NOTE INFORMATION COVID 19 – 27/07/2021
Projet de loi relatif à la gestion de la crise sanitaire : adoption définitive
Obligation vaccinale et élargissement du pass sanitaire pour certains salariés : que contient finalement le projet de loi ?
Il prévoit notamment :
· Une autorisation d’absence pour se faire vacciner contre la Covid-19 ou pour accompagner un mineur ou un majeur protégé ; l’absence sera traitée comme du temps de travail effectif
· Un élargissement du pass sanitaire (exigence d’une vaccination ou d’un test négatif ou d’un certificat de rétablissement) par décret :
o Pour les déplacements de longue distance par transports publics interrégionaux et l’accès à certains lieux (activités de loisirs, restauration, débit de boissons, foires, séminaires et salons, accueil de personnes vulnérables et, sur décision du préfet, grands établissements et centres commerciaux), etc.
o Pour les salariés concernés, à compter du 30 août 2021 et jusqu’au 15 novembre 2021
o À défaut de présenter les justificatifs à leur employeur, les salariés ne pourront plus exercer l’activité ; l’employeur devra notifier la suspension du contrat de travail (non rémunérée) ; puis, au-delà de 3 jours, convoquer à un entretien pour examiner notamment les possibilités de changement de poste ; les CDD pourront être rompus de manière anticipée, mais il n’est plus prévu de licenciement pour les CDI
· Une vaccination obligatoire (exigence d’un statut vaccinal complet, sauf contre-indication médicale ou certificat de rétablissement)
o Notamment pour les personnels soignants au sens large et les transports sanitaires
o L’obligation d’un statut vaccinal complet s’appliquera à compter du 16 octobre 2021
§ À défaut, du lendemain de la publication de la loi jusqu’au 14 septembre 2021, les salariés concernés pourront présenter un test négatif
§ Du 15 septembre au 15 octobre, la justification d’une 1ère dose de vaccin suffira, mais pas les tests Covid
o À défaut de justificatif, les personnes concernées ne pourront plus exercer ; l’employeur devra informer le salarié ; le contrat de travail sera suspendu sans rémunération ; la rupture du contrat de travail n’est plus prévue ; au-delà de 30 jours, l’employeur devra informer le conseil de l’ordre concerné
· Un aménagement des conditions et modalités de calcul des IJSS pour les travailleurs indépendants.
· Concernant l’état d’urgence :
o La période transitoire faisant suite au 2e état d’urgence est prolongée jusqu’au 15 novembre 2021
o L’état d’urgence est prolongé jusqu’au 30 septembre 2021 en Martinique et à La Réunion
o L’état d’urgence est déclaré en Guadeloupe, à Saint-Barthélemy et à Saint-Martin à compter du lendemain de la publication de la loi et jusqu’au 30 septembre 2021
o Si l’état d’urgence sanitaire est déclaré à Mayotte avant la fin août, il sera applicable jusqu’au 30 septembre 2021.
Le projet de loi doit être examiné par le Conseil constitutionnel avant sa publication.
Publication de la loi de finances rectificative pour 2021
La loi de finances rectificative pour 2021 vient d’être publiée au Journal officiel du 20 juillet 2021. Elle contient plusieurs mesures de soutien à la sortie de crise.
· PEPA
Le versement de la prime exceptionnelle de pouvoir d'achat, exonérée de toutes cotisations sociales et d’impôt dans la limite de 1 000 euros (ou 2 000 euros sous conditions dans les entreprises d’au moins 50 salariés), est possible entre le 1er juin 2021 et le 31 mars 2022.
· Cotisations sociales
Les entreprises les plus fragilisées par la crise sanitaire et économique, dont l’effectif est inférieur à 250 salariés, peuvent bénéficier d’une aide au paiement de leurs cotisations sociales égale à
15 % de leur masse salariale au titre des périodes d’emploi définies par décret et qui pourront courir jusqu’au 31 août 2021. Un décret pourrait également prolonger ces périodes jusqu’au dernier jour de la période d’emploi qui court jusqu’au 31 décembre 2021. Les travailleurs indépendants ainsi que les mandataires sociaux assimilés salariés de ces secteurs bénéficient également d’une réduction de cotisations et contributions sociales dues au titre de l’année 2021 dont le montant sera fixé par décret.
· Carry-back : renforcement temporaire du dispositif
Le mécanisme de carry back est aménagé temporairement afin de permettre le report en arrière du déficit constaté au titre du 1er exercice déficitaire clos à compter du 30 juin 2020 et jusqu’au 30 juin 2021 sur les bénéfices constatés au titre des trois exercices précédents. Le montant du déficit reportable n’est pas plafonné.
L’option peut être exercée jusqu’à la date limite de dépôt de la déclaration de résultats d’un exercice clos au 30 juin 2021, et au plus tard, avant que la liquidation de l’impôt sur les sociétés, dû au titre de l’exercice suivant celui au titre duquel l’option est exercée, ne soit intervenue.
L’option fait naître une créance calculée en retenant le taux de l’IS applicable aux exercices ouverts à compter du 1er janvier 2022 (15% ou 25%).
La créance de carry back est diminuée du montant de la créance de report en arrière déjà liquidée lorsque l’option a déjà été exercée au titre de ce même déficit.
· Exonération des aides versées aux entreprises dans le cadre de la crise sanitaire
L’exonération fiscale et sociale des aides du fonds de solidarité est étendue aux montants perçus à compter de 2021 ou au titre des exercices clos depuis le 1er janvier 2021. Sont également concernées les aides versées par le fonds aux discothèques.
Cette exonération est également applicable à l’aide perçue par les entreprises au titre de la reprise d’un fonds de commerce, effectuée en 2020.
En revanche, les autres aides versées (aides coûts fixes, stocks...) ne sont pas exonérées.
· Déductibilité des abandons de créances de loyers
Le dispositif de déductibilité des abandons de créances de loyers consentis à des entreprises particulièrement touchées par la crise sanitaire est prolongé jusqu’au 31 décembre 2021. Sont concernés les bailleurs relevant du régime des revenus fonciers ou des BIC/IS.
· Réduction d’impôt sur le revenu IR-PME (Madelin) : prolongation jusqu’à la fin de l’année 2022 du taux de 25%
Le taux de 25% au titre de la réduction d’impôt pour souscription au capital d’une PME, dite
« Madelin », est prolongé jusqu’à fin 2022.
Cette disposition s'applique aux versements effectués à compter d'une date fixée par décret.
· Fonds de solidarité : prolongation et adaptation du dispositif
Le fonds de solidarité est prolongé jusqu’au 31 août 2021 afin de permettre son extinction progressive. Est prévue la possibilité de le prolonger par décret pour une durée de 4 mois au plus.
· Prêts Garantis par l’État (PGE) : prolongation du dispositif
La possibilité pour les entreprises éligibles de souscrire des PGE est prolongée jusqu’au 31 décembre 2021.
Loi n° 2021-953 du 19 juillet 2021 de finances rectificative pour 2021
NOTE INFORMATION COVID 19 – 12/10/2020
https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/covid_guide_employeur_08102020.pdf
NOTE INFORMATION COVID 19 – 11/05/2020
NOTE INFORMATION –08/10/2019
NOTE INFORMATION –30/04/2019
NOTE INFORMATION – 13/03/2019
- vérifier l’identité des entreprises démarcheuses qui ne sont en aucun cas, contrairement à ce que certaines prétendent, mandatées par les pouvoirs publics pour proposer à titre onéreux des prestations de mise en conformité au RGPD
- vérifier la nature des services proposés : la mise en conformité au RGPD nécessite plus qu’un simple échange ou l’envoi d’une documentation. Elle suppose un vrai accompagnement, par un professionnel qualifié en protection des données personnelles, pour identifier les actions à mettre en place et assurer leur suivi dans le temps.
- demander des informations sur l’identité de l’entreprise démarcheuse permettant de faire des vérifications sur internet ou auprès des syndicats de votre profession ;
- vous méfier de telles communications prenant les formes d’une information officielle émanant d’un service public ;
- lire attentivement les dispositions contractuelles ou pré-contractuelles ;
- prendre le temps de la réflexion et de l’analyse de l’offre ;
- diffuser ces conseils de vigilance auprès de vos services et des personnels qui sont appelés à traiter ce type de courrier dans l’entreprise ;
- ne payer aucune somme d'argent au motif qu’elle stopperait une éventuelle action contentieuse.
- Si vous vous estimez lésé, vous pouvez vous adresser à la direction départementale de la protection des populations (DDPP) ou à la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) de son département de résidence.
- Pour rappel, les entreprises de moins de 5 salariés sont protégées par les dispositions du code de la consommation pour les contrats conclus hors établissement.
NOTE INFORMATION – 18/12/2018
Le Président de la République a annoncé, le 10 décembre 2018, plusieurs mesures en faveur du pouvoir d’achat des salariés. Elles figureront dans une loi qui devrait être adoptée d’ici la fin de l’année. Sans plus attendre, voici l’essentiel de ces mesures (qui pourront évoluer dans le cadre de l’examen du projet de loi). Notons que la hausse du SMIC de 100 € passerait par une augmentation de la prime d’activité.
1) PRIME EXCEPTIONNELLE DE POUVOIR D’ACHAT
Les employeurs pourront verser une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat aux salariés, sans charges sociales et sans impôt, dont les principales caractéristiques sont les suivantes :
• Elle est facultative pour l’employeur ;
• Elle ne peut se substituer à un élément de rémunération prévu par accord, contrat ou usage : elle doit venir en plus de ce qui est habituellement versé ;
• Elle peut être versée du 11 décembre 2018 au 31 mars 2019 ;
• Elle peut être versée à l'ensemble des salariés ou à ceux dont la rémunération est inférieure à un plafond librement défini dans l'entreprise ;
• Quand elle est versée, elle doit bénéficier à tous les salariés présents au 31 décembre 2018 ou présents à la date du versement (si elle est versée entre le 11 décembre 2018 et le 31 décembre 2018);
• Son montant peut varier en fonction du niveau de rémunération, de la durée du travail prévue au contrat et de la durée de présence effective en 2018 ;
• Elle est exonérée de toutes les charges sociales (y compris CSG/CRDS) et de l’impôt sur le revenu dans la limite de 1000 €, uniquement pour les salariés pour lesquels l’employeur cotise à l’assurance chômage et dont la rémunération perçue en 2018 n'excède pas 3 SMIC annuels calculés dans les mêmes conditions que pour l'allègement dit Fillon (horaire contractuel + heures supplémentaires/heures complémentaires sans majoration) ;
Le montant de la prime, l’éventuel plafond, les modalités de calcul sont prévues :
• Par accord d’entreprise conclu avant le 31 mars 2019 ;
• Ou par décision unilatérale de l’employeur prise avant le 31 janvier 2019, après information des représentants du personnel, s’ils existent dans l’entreprise (avant le 31 mars 2019).
2) HEURES SUPPLEMENTAIRES ET COMPLEMENTAIRES : EXONERATION DE CHARGES SOCIALES ET D’IMPOT SUR LE REVENU
Les heures supplémentaires et complémentaires (pour les salariés à temps partiel) réalisées à compter du 1er janvier 2019 seront exonérées de certaines charges sociales salariales. Elles resteront soumises à la CSG-CRDS et aux contributions de prévoyance. FICHE CLIENT SOCIAL / DECEMBRE 2018 // 2 Elles seront exonérées d’impôt sur le revenu dans la limite annuelle de 5 000 €.
3) HAUSSE DU SMIC
Il a été annoncé une hausse du SMIC d’un montant de 100 €, qui passera par une augmentation de la prime d’activité. Cela viendra en plus de la revalorisation automatique du SMIC au 1er janvier (1,5%).
4) CSG DES RETRAITES
Le supplément de CSG de 1,70% ne s’appliquera plus en 2019 aux retraités ayant un revenu de référence de l’avant-dernière année inférieur à 22 580 € pour la première part de quotient familial majoré de 6 028 € par demi part supplémentaire. Les personnes concernées bénéficieront d’une régularisation
NOTE INFORMATION - 12/06/2018
NOTE INFORMATION - 12/03/2018
Toutes nos équipes sont mobilisées pour vous accompagner dans la prochaine mise en place du prélèvement à la source.
Nous vous prions de trouver ci-dessous la communication de Mr Bruno Parent, Le Directeur général des Finances publiques, au sujet du prélèvement à la source.
Madame, Monsieur,
Le prélèvement à la source entrera en vigueur au 1er janvier 2019.
C'est une réforme essentielle du paiement de l'impôt sur le revenu, qui concerne à la fois les contribuables et les employeurs. Sa mise en œuvre technique s'appuie uniquement sur votre logiciel de paie qui intégrera les évolutions nécessaires.
La réussite de cette réforme, qui constitue un enjeu important pour les contribuables, ne pourra être complète sans votre mobilisation. C'est pourquoi l'administration fiscale, qui restera l'interlocuteur unique des contribuables pour le prélèvement à la source, met tous les moyens en œuvre pour vous accompagner. Elle conduira tout au long de l'année 2018 une communication externe utilisant tous les média à sa disposition. À ce titre, le site prelevementalasource.gouv.fr est un site de référence complet et régulièrement actualisé qui vise à répondre à toutes vos questions. Il comprend désormais un kit, téléchargeable très facilement, qui vous permet de disposer de toutes les informations dont vous avez besoin, ainsi que de tous les supports qui pourront être mis à la disposition de vos salariés sur cette réforme. Ce kit est accessible à la rubrique « Je suis collecteur ».
Le prélèvement à la source en améliorant les modalités de paiement de l'impôt sur le revenu va faciliter la vie de nos concitoyens. C'est aussi votre collaboration qui en fera un succès collectif.
Je vous remercie vivement par avance pour votre aide et vous assure du soutien au quotidien des services de la DGFiP pour vous accompagner tout au long de l'année 2018. N'hésitez pas si nécessaire à les solliciter.
NOTE INFORMATION - 11/12/2017
Le Gouvernement a annoncé durant l'été plusieurs mesures fiscales et présenté ses grandes orientations.
NOTE INFORMATION - 12/10/2017
Depuis plusieurs années, le dispositif de lutte contre la fraude fiscale via les outils informatiques monte en puissance.
Vous utilisez une ou plusieurs caisses enregistreuses ou un système informatique de caisse, dans le cadre de votre activité. Vous êtes en conséquence concerné par l'entrée en application au 1er janvier 2018 de l'article 286 modifié du CGI. Le paragraphe numéroté I 3bis instaure, pour les assujettis à la TVA qui enregistrent les règlements de leurs clients "au moyen d'un système de caisse", l'obligation de détenir une attestation ou un certificat fournis par l'éditeur ou le fournisseur du système de caisse utilisé.
Notez que si à ce jour, vous n’utilisez ni caisse enregistreuse, ni système informatique de caisse, vous n’avez pas obligation de vous équiper.
Ce document devra garantir le respect des conditions d'inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d'archivage par les systèmes de caisses utilisés. Il devra être présenté aux agents de l'administration fiscale qui en feraient la demande lors d'un contrôle inopiné ou d'une vérification de comptabilité.
L'assujetti à TVA qui ne pourra présenter ce document dans les 30 jours encourra une amende de 7500€ par système de caisse concerné. Cette amende sera de nouveau applicable faute de mise en conformité dans un délai de 60 jours à compter du premier constat de défaut.
Sans attendre les précisions de l'administration demandées par les professionnels et les éditeurs de logiciels, nous vous conseillons de vous adresser à votre ou vos fournisseurs de systèmes de caisse.
Nous vous informerons des évolutions et précisions qui seront apportées par l'administration à cette nouvelle obligation. Si vous avez des projets d'achat ou de renouvellement de vos caisses ou systèmes de caisse, nous vous recommandons d'être attentifs au respect de cette nouvelle règlementation par votre fournisseur ou prestataire.